Dans la troisième partie du livre, sur le chemin de Mésas, Evzen fait halte à Volturya, où il manque de se faire tuer lors d'une émeute. Il rencontre ensuite
Hilmar Volturyen et
Wilfried du Doubre. Il tente de subtiliser les lettres de son père par d'autres, où l'écriture du nain est imitée, afin de dissimuler les preuves. Il semble y parvenir le matin du coup d'Etat du gouverneur du Palanz. A Mésas, il rencontre l'Empereur
Meneris, revenu du Wohlstand et en chemin vers le Nord - il vient de fonder le duché du Wohlstand occidental. Après avoir rencontré
Ivanov Volturyen, contre qui une partie de Tuëlos s'est terminée par une égalité, il se retrouve au milieu d'une révolte des habitants de Mésas. Il est sauvé
in extremis, et est enfermé dans les appartements du Premier maréchal dans la Tour-Citadelle tandis que son fils,
Henry Tolbias, gouverneur de Mésas, part en guerre contre sa propre ville. Après une sanglante répression, il rentre au Palais. Il décide alors de se lancer dans des recherches sur
Otto Tolbias, qui le mèneront sur la piste de son épouse Hermeline Huon, à Gardis. Il finit par soupçonner le Premier maréchal d'avoir assassiné son épouse et l'ensemble de sa belle-famille, et d'avoir tenté d'effacer Gardis de la carte de la Coalition impériale. Il croise néanmoins Otto Tolbias sur le chemin du retour ; plus tard, peu avant le défilé, la vérité éclate au grand jour et Evzen se révolte contre le Premier maréchal. Il se défend, contre
Odrys Volturyen, d'avoir participé au complot l'ayant conduit en prison, mais ne parvient pas à le convaincre. Le jour du défilé, il s'enfuit avec son père et sa grand-mère, et quitte Mésas, encore une fois au milieu d'une immense révolte conduisant à un grand incendie détruisant tout le nord de la capitale. Son père lui ayant donné une lettre, il ne veut pas la lire et s'en retourne à Skipion.