Dans la dernière partie du livre, Otto parvient à faire tomber Tridon après un siège éclair, mais est obligé de quitter la ville pour stopper une menace aqualish au Nord. L'amiral
Salezinerla’Orlothin, récemment revenu du Nord du continent parvient à reprendre la ville entretemps
et pousse Otto à la retraite vers un affluent de la Viadonne.
Le vieux militaire est totalement acculé par ce nouvel adversaire et tente de le défaire dans une bataille dantesque : la bataille des trois plateaux. Mais c'est un échec cuisant, l'amiral Orlothin avait préparé un piège qui a annéanti la moitié des forces du Premier maréchal, la défaite est totale.
Après cette violente déconvenue, Otto décide de temporiser en se repliant de l'autre côté de la Viadonne, il décide ensuite de discuter avec son ennemi, désormais surnommé "le seul en vie à avoir vaincu le maréchal" suite à la mort de
Tarful Tür-achel, un rex-leader nain qui l'avait autrefois battu
pendant la Première Guerre Impériale.
Mais tout ceci n'était qu'une ruse qui a permis à Otto de recevoir les renforts conséquents pour défaire son adversaire et le pousser à le retraite vers les Îles Voexann. Otto remporte la bataille du Wohlstand et fait signer le traité qui enterrine la fin du conflit.
De retour à la capitale, Otto se fait évincer par son neveu qui demande sa démission une fois l'Empire d'Auritanie proclammé, Otto est poussé de mettre son complot en marche et piège Meneris dans sa Tour-Citadelle pendant le défilé.
Il tente de l'obliger à lui obéir, mais Meneris refuse, Otto ordonne donc son exécution.
Mais la moitié de la garde prétorienne (qu'il avait auparavant soumise) se retourne contre lui, un affrontement se déclenche alors qu'Ilgur et Odrys prennent la ville comme convenu.
Otto parvient à tuer Meneris avant de se faire jeter du haut de la tour avec le septième garde qu'il avait brisé mentalement pendant la campagne du Wohlstand, le vieil étalon meurt de la chute.